
Le chef danois Thomas Søndergård dirige l’OSM dans un concert où lyrisme et héroïsme côtoient la recherche de liberté. Dans son Troisième Concerto pour piano, qui sera interprété par Yefim Bronfman, Beethoven se montre lumineux et s’appuie sur un solide équilibre entre piano et orchestre pour prendre des libertés dans son discours. Cette liberté se mesure à l’échelle d’un pays, la Finlande, qui accède à son indépendance au moment où Sibelius remanie sa Symphonie no 5, de laquelle il ressort un héroïsme débordant. On entendra également en création mondiale une pièce de la compositrice canadienne Dorothy Chang inspirée des dynamiques de destruction et de guérison inhérentes à notre planète.
ARTISTES ET OEUVRES
Orchestre symphonique de Montréal
Thomas Søndergård, chef d’orchestre
Yefim Bronfman, piano
Programme:
Dorothy Chang, Précipice. Création mondiale – commande de l’OSM (10 min)
Beethoven, Concerto pour piano n°3 en do mineur, op. 37 (34 min)
Sibelius, Symphonie n°5 en mi bémol majeur, op. 82 (30 min)
Le prix des billets est de 35$
Ludwig Van is an independent digital news media website supported by its audience and sponsors. Our primary focus is on arts coverage, including news reporting and criticism.
Les derniers articles par Ludwig Van
(tout voir)